La fille a fini par avoir raison - pour l'instant - de l'opiniâtreté de la mère : le 17 octobre 2011,
burberry soldes, l'héritière L'Oréal était placée par la juge des tutelles de Courbevoie (Hauts-de-Seine) Stéphanie Kass-Danno sous la tutelle de Françoise Bettencourt-Meyers et des deux fils de celle-ci,
louboutin pas cher, ses petits-fils Jean-Victor et Nicolas, en ce qui concerne son patrimoine, et plus spcéifiquement sous celle de l'aîné,
sac longchamp pas cher, Jean-Victor,
abercormbie and fitch, pour ce qui est de sa vie quotidienne et de ses décisions. "Je n'ai plus qu'à mourir", avait réagi la milliardaire,
sac louis vuitton, détentrice de la 15e fortune mondiale,
louis vuitton outlet, à l'annonce par son avocat de ce placement sous tutelle,
longchamp, elle qui avait anticipé cette issue en déclarant qu'elle "n'aurait peut-être plus envie de vivre" si elle tombait sous la coupe de sa fille.
Récemment hospitalisée pour une pneumopathie que certains ont mis sur le compte de sa détresse face à la situation,
burberry, Liliane Bettencourt n'est toutefois toujours pas assez accablée pour ne pas ruer dans les brancards et contester l'autorité octroyée à sa fille. Vendredi 4 novembre,
sac louis vuitton pas cher, elle a ainsi demandé par la voie de son avocat Me Jean-René Farthouat un aménagement provisoire de son placement sous tutelle,
louboutin, afin d'être placée sous la protection exclusive de son petit-fils de 25 ans Jean-Victor Meyers et d'écarter sa fille Françoise de la gestion de son patrimoine. Avec tout de même une contradiction : même si elle y parvient,
louis vuitton, Jean-Victor n'en demeurera pas moins le fils de sa mère. A 25 ans,
abercrombie, pourrait-il dans cette configuration être un tuteur réellement indépendant ? Au cours de l'audience,
louboutin pas cher, qui a duré quatre heures,
abercrombie france, Françoise Bettencourt-Meyers a notamment dénoncé "un certain acharnement" à vouloir écarter Nicolas et elle de la tutelle.
La requête a été formulée lors d'une audience à huis-clos auprès de la cour d'appel de Versailles,
louboutin, saisie en référé sur l'exécution provisoire (l'application immédiate,
mercurial vapor, nonobstant toute procédure d'appel) décidée par la juge Kass-Danno du placement sous tutelle de la milliardaire, avant l'examen de celui-ci en appel - formé par les conseils de Liliane Bettencourt et son ancien protecteur judiciaire Me Pascal Wilhelm - d'ici plusieurs mois. Car si l'octogénaire accepte provisoirement de se plier à cette décision "dans un souci d'apaisement" et demande à ce titre cet aménagement visant à déposséder sa fille,
louis vuitton, qu'elle a déjà taxée d'être vénale,
louis vuitton pas cher, de l'autorité sur son patrimoine, elle n'a toutefois toujours pas renoncé "à contester le principe même de la mesure de tutelle dont elle a été l'objet",
sac longchamp, a souligné son avocat. Une mise sous tutelle qui pourrait sonner le glas de son mandat d'administratrice du géant des cosmétiques L'Oréal, dont elle est la première actionnaire.
Le premier président de la cour d'appel de Versailles a mis son jugement en délibéré au 18 novembre,
longchamp pas cher, enjoignant au passage les deux parties à se rapprocher pour une conciliation. Encore...
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en train de donner son biberon à Haven. avec une jolie paire de bottes noires il peut revenir" Interviewé par le site américain GayStarNews, l'acteur, qui faisait son coming-out il y a peu, déclarait : "C'est un pas en avant, deux pas en arrière. Ça ne veut pas dire qu'il accepte complètement le fait d'être gay. (...) Mais c'est un moment marquant du script, car Sonny assiste à ce baiser. Il y a un point de non-retour qui est franchi."