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 Post subject: sac lancel mademoiselle adjani Profession - pilote
PostPosted: Sun Mar 17, 2013 8:29 am 
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Joined: Tue Mar 13, 2012 8:44 am
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Profession : pilote d'élite "On n'est que 22 pilotes de formule 1 dans le monde. Il y a s,rement plus de cosmonautes sur la planète." L'Histoire recense plus de champions du monde de F1 (30) que d'hommes ayant marché sur la Lune (12), mais Jean-Eric Vergne, pilote fran,ais de l'écurie Toro Rosso, n'a pas tort,: il appartient à une espèce rare. Aucune discipline sportive ne possède une élite aussi restreinte, étant entendu que la plongée en apnée no limit (Herbert Nitsch) ou le saut en parachute depuis la stratosphère (Felix Baumgartner), avec un seul représentant en activité, sont hors concours.Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1, / mois | Découvrez l'édition abonnésDimanche 17 mars, Jules Bianchi (France), Valtteri Bottas (Finlande), Max Chilton (Grande-Bretagne), Esteban Gutierrez (Mexique) et Giedo van der Garde (Pays-Bas), les cinq néophytes de la saison 2013 qui s'ouvre à Melbourne (Australie), intégreront l'un des clubs les plus fermés de la planète, qui comptera alors 747 membres : celui des hommes pouvant se targuer d'avoir effectué une course au volant de la reine des monoplaces depuis 1950 et la création du championnat du monde de formule 1."Que la F1 soit un peu inaccessible, c'est ce qui lui donne son charme, estime l'ancien pilote Olivier Panis, un spécimen d'autant plus rare qu'il est le dernier Fran,ais vainqueur d'un Grand Prix (Monaco, 1996). On a toujours envie de ce qu'on ne peut pas toucher.," ",C'est clair que ,a fait de ce sport quelque chose de spécial", juge Jean-Eric Vergne. Le Fran,ais de 22 ans - quatre de moins que la moyenne des pilotes cette saison - est conscient du ",privilège," qu'il a de faire partie de cette tribu à part, dont tous les membres ont fait leurs armes dans les catégories inférieures - karting, formule Campus, formule Renault, GP2 - et à laquelle on n'accède que si l'on est financé par un sponsor, un mécène, une filière d'écurie ou son père milliardaire."TU ES OBLIGé D'êTRE éGO,STE POUR RéUSSIR" Quand on lui demande s'il existe des traits de caractère communs à l'ensemble du paddock, Jean-Eric Vergne démarre au quart de tour : ",Les pilotes sont tous égo,stes. Mais dans ce milieu, ce n'est pas un défaut. Tu es obligé d'être égo,ste pour réussir.," La formule 1 est un sport d'équipe paradoxal, où le principal adversaire d'un pilote est son propre coéquipier, le seul qui roule sur la même voiture, donc le seul avec qui la comparaison soit valable. ",Pour faire un bon pilote, exposait récemment l'ancienne gloire belge Jacky Ickx dans L'Equipe,sac lancel mademoiselle adjani, il faut deux personnalités - l'une à l'extérieur, l'autre dans la voiture - et des qualités qui n'en sont pas dans la vie courante : individualisme, égo,sme, presque à la limite de la moralité. On ne peut pas être enclin à faire des cadeaux : Je vous en prie, passez..." La famille de la formule 1 n'en est donc pas vraiment une,: ",Tout le monde se conna,t, parce qu'il n'y a personne d'autre à voir, mais ,a s'arrête à peu près là, explique le Québécois Jacques Villeneuve, champion du monde en 1997, qui commentera cette saison les Grand Prix sur Canal+. "Dans les années 1960 ou 1970, il y avait des galas, des cocktails où les pilotes faisaient la fête, buvaient du whisky ensemble la veille du Grand Prix. C'était très social comme sport. Aujourd'hui, la seule chose qui unit les pilotes, c'est le fait qu'ils pilotent une formule 1.,"Dans son livre The Cruel Sport, l'écrivain américain Robert Daley fait de la vulnérabilité de ces hommes, qui passent leur vie à 250 km/h, un critère commun : ",Les pilotes de Grand Prix ne diffèrent des autres athlètes que parce qu'ils risquent leur vie. Cela leur confère un puissant c,té mystique et leur permet d'avoir conscience de la beauté et de la brièveté de la vie." Ces mots datent de 1963, mais restent d'actualité selon Olivier Panis : ",Le pilote de F1 a une relation avec la mort différente des autres sportifs. Même si la sécurité a beaucoup progressé [32 pilotes sont morts lors d'un week-end de Grand Prix, mais aucun depuis le Brésilien Ayrton Senna en 1994], ,a reste un sport très dangereux, et cela entra,ne un peu de respect en plus entre les pilotes." "Une F1 c'est un peu comme une arme à feu, explique le Fran,ais Jean Alesi. "Le pilote sait qu'il doit ma,triser sa machine et que cela peut s'avérer tragique s'il la ma,trise mal. Donc on a une sorte de fraternité les uns envers les autres, un peu comme des chevaliers. On sait qu'il faut faire attention."",A DEVIENT UN JEU VIDéO"Tordons le cou aux clichés qui le présentent comme un taré, quand ils ne lui prêtent pas des tendances suicidaires,: le pilote de F1 est un animal à sang froid. Avec, néanmoins, une tendance au réchauffement, à en croire Jacques Villeneuve,: ",Dans les années 1950 ou 1960, il pouvait y avoir quatre morts en une saison, les pilotes faisaient plus que jouer avec le feu, mais ,a amenait un énorme respect entre eux, ils ne se tranchaient pas en deux sur la piste. Maintenant, les pilotes sont inconscients, ils mettent des coups de frein en ligne droite, ils zigzaguent, il n'y a plus ce respect de la limite et du danger. On a l'impression qu'il n'y a plus de prix à payer pour l'erreur et que, dans leur tête, il est impossible de se faire mal. ,a devient un jeu vidéo."La course étant moins risquée, les pilotes seraient moins vigilants. Moins flamboyants,aussi, selon le ",patron," de la formule 1, Bernie Ecclestone, qui, en fin de saison dernière, déplorait le ",manque de charisme," de Sebastian Vettel, triple champion du monde en titre, et expliquait que ",les gars comme Hunt, Rindt, Lauda ou Senna [quatre anciens pilotes mythiques] étaient des personnages. Aujourd'hui, les pilotes sont trop choyés par les chefs d'écurie et muselés par la Fédération internationale de l'automobile. Ils ne peuvent même plus montrer leurs émotions.," ",Le politiquement correct s'est mis en place, on n'entend pratiquement rien d'intéressant, regrette Jacques Villeneuve.,Il devient impossible de conna,tre les vrais traits de personnalité des pilotes."Certains semblent invariables : ",sac lancel adjani,Il faut être froidement furieux pour être pilote, écrit Jean-Philippe Domecq dans son essai Ce que nous dit la vitesse (Pocket, 2000). Ce sont des gens qui s'énervent quand ,a va doucement, qui se calment un dimanche sur deux quand ,a reprend son rythme normal, c'est-à-dire à fond.," Peuplée d'hommes impatients, la formule 1 est aussi un milieu d'extrême précision, qui peut rendre maniaque et déteindre sur le quotidien (",Quand le gazon est mal tondu, ,a me saoule,", dit Olivier Panis). Les pilotes obéissent tous à des habitudes, des routines, des superstitions parfois (",Je connais un pilote qui n'a pas changé de slip pendant trois ans et qui ne l'a jamais lavé,", jure Jacques Villeneuve)."LE PILOTE EST LA PARTIE VISIBLE DE L'ICEBERG"Suivant le mouvement global de professionnalisation du sport, le métier de pilote a considérablement évolué,adjani lancel,: ",Quand j'ai découvert la formule 1 il y a quarante ans, les pilotes étaient des gar,ons indépendants qui géraient tout eux-mêmes, se souvient le journaliste Gilles Gaignault, mémoire du sport automobile et fondateur du site Autonewsinfo.com. Aujourd'hui ils sont dans des structures avec manageurs, conseillers, avocats, sponsors, financiers, coachs, kinés, ostéopathes, sophrologues... Le pilote est la partie visible de l'iceberg.,"Derrière les cadors de la discipline - Alonso, Vettel, Button, Hamilton et autres Ra,kkonen -, Jacques Villeneuve regrette la présence de ",gamins qui n'ont pas cravaché" pour en arriver là, ",qui habitent encore à la maison où maman fait à manger et repasse le linge" et qui, malgré leur talent, ne supportent pas la pression et se retrouvent ",presque en larmes pendant les essais parce qu'ils ne comprennent pas comment régler la voiture,". Mais la passion des pilotes reste intacte, selon Gilles Gaignault,: "Ce sont des hommes qui vivent à mille pour cent pour réussir, qui ne vivent que pour ,a, qui ne pensent qu'à ,a matin, midi et soir, 365 jours par an, depuis l'age de 10 ans.," Et qui continuent d'accomplir des prouesses.Car la F1 compte parmi les sports les plus éreintants - en course, un pilote passe une heure et demie à 160 pulsations/minute, encaisse des forces de 5G dans les virages, passe de longs moments en apnée et peut perdre jusqu'à 5 kilos. Oui, un pilote est un véritable athlète, qui doit s'entretenir en permanence en veillant tout de même à ne pas déborder du baquet - gabarit idéal,: ",1,78 m, 70 kg,", nous dit Olivier Panis. Pas besoin d'être l'homme le plus fort du monde. Pas besoin d'être un homme tout court, assure Panis,: ",Si elle est vraiment préparée, et si elle est à fond, une femme peut faire un Grand Prix de F1. Et le patron d'équipe qui donnera sa chance à une femme fera un sacré coup niveau marketing.,"

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